Finalement, je n'ai jamais eu le temps de vraiment me mettre aux jeux vidéos, alors je vais abandonner... Tant pis, une grande carrière de streamer s'est étiente dans l'oeuf...

Mais entre-temps, je me suis mis à différentes choses, en particulier Docker. Ca n'a rien à voir avec les jeux vidéos, mais en tant que self-proclaimed geek, il est de mon devoir d'essayer tout.

J'ai donc enfin compris comment marche Docker, et je suis le fier mainteneur d'une image qui a à ce jour, wouhou! plus de 700 downloads! (796 à ce jour pour être exact)

Pour ceux qui ne connaissent pas, Docker est un système de containerisation. En gros, c'est comme une machine virtuelle, mais c'est pas pareil... Selon Wikipédia:

Docker permet la mise en œuvre de conteneurs s'exécutant en isolation, via une API de haut-niveau. Construit sur des capacités du noyau Linux (surtout les cgroups et espaces de nommage), un conteneur Docker, à l'opposé de machines virtuelles traditionnelles, ne requiert aucun système d'exploitation séparé et n'en fournit aucun. Il s'appuie plutôt sur les fonctionnalités du noyau et utilise l'isolation de ressources (comme le processeur, la mémoire, les entrées et sorties et les connexions réseau) ainsi que des espaces de noms séparés pour isoler le système d'exploitation tel que vu par l'application.

Ca en jette, hein?

Grosso modo, Docker permet de faire tourner une application, ou un service, de manière séparée du système principal, tout en ayant accès à ses ressources. Un peu comme une sand-box

Pour mon usage, cela me permet plusieurs choses:

• Héberger des serveurs web sans exposer tout mon serveur: si un jour des vilains malveillants utilisateurs des interwebs parviennent à pénétrer mon serveur, ils seront limités à la partie accessible dans le conteneur, c'est à dire pas grand chose. Pour cela, j'utilise Nginx, PHP et MS SQL server(bou! le méchant, il utilise du Micro$oft sur Linux, ouais, et je vous emmerde, c'est mon serveur, je fais ce que je veux!), chacun dans un container dédié
• Accéder à mon serveur depuis internet. pour cela j'utilise Apache Guacamole, dont je maintiens une image (celle qui a 800 téléchargements - hé! c'est 4 de plus par rapport au début de l'article!)
• Faire tourner un serveur Jellyfin pour accéder à ma bibliothèque média de partout (mais que chez moi, ça, je ne l'expose pas à Internet et ses malfrats)

Pour le coup, comme je passe plus de temps à manager mon serveur que jouer, je vais peut-être en sortir une série d'articles...